L’Office National de la Famille et de la Population répond aux accusations de corruption

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Certains médias ont relayé dernièrement des informations sur une suspicion de corruption au sein de l’Office National de la Famille et de la Population (ONFP) basées sur des déclarations émises à plusieurs reprises par le Président de l'Association tunisienne pour la lutte contre la corruption (ATLUC). L’ONFP rejette et dénonce ces accusations non fondées et bien orchestrées visant à nuire à l’image de l'Institution et son Président Directeur Général.

La campagne de dénigrement lancée par l'ATLUC contre le secteur de la santé en général et l’ONFP en particulier, est nourrie par des informations complètement erronées rapportant «des recrutements illégaux» et l’ouverture d’un « concours informel ».

En effet, dans le cadre d’une procédure légale en conformité avec l'article 31 du statut particulier des agents de l’institution, l’ONFP a eu recours aux services d’agents vacataires (chauffeurs, gardiens et femmes de ménages).

Il s’agitd’une procédure temporaire et exceptionnelle qui a permisde faire face à des vacances d’emploi cumulées ces dernières années et de répondre à des besoins urgents afin de garantir les conditions optimalesde sécurité du siège et des centres régionaux de l’ONFP ainsi que le bon fonctionnement des activités de cet établissement public.

Parallèlement, l’ONFP a ouvert un concours qui a été annoncé dans les journaux, pendant le mois de septembre 2015 pour le recrutement de 72 cadres et agents de différentes spécialités. Ce concours qui est encore dans la phase de dépouillement est mené sous la supervision d’un comité composé de cadres supérieurs de l’ONFP et du contrôleur d'État.

Quant à l’usage abusif des véhicules de l’institution, l’ONFP précise que contrairement aux déclarations mensongères, le Président Directeur Général de l’ONFP, ne dispose effectivement que d’une seule voiture de fonction comme prévu par la loi.

L’ONFP rappelle, enfin, que le ministère de tutelle dispose des renseignements, informations et pièces administratives prouvant le caractère diffamatoire des déclarations de l’ATLUC.

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